atouts et facteurs de différentiation ISRI
Viser l’excellence grâce aux formations Clés-En-Main ISRI
Les organisations publiques ou privées sont généralement soumises à des impératifs d’efficacité extrêmement rigoureux et à un retour sur leurs investissements en termes de moyens financiers, humains, structurels, de temps, etc.
En matière de formations, celles-ci exigent, en conséquence, d’être rassurées sur la capacité des intervenants à faire appliquer, réellement et avec succès, les apprentissages acquis par les stagiaires, directement sur les lieux de travail.
Le découpage des formations Clés-en-Main
Les formations Clés-En-Main ISRI sont réalisées par journées ou demi-journées discontinues (dans la mesure du possible) et lorsqu’il n’y a aucune contre-indication du Commanditaire.
Parce que nous pensons, dans les situations d’intenses enrichissements, qu’il faut un temps de maturation entre deux apprentissages pour faciliter leur assimilation.
Dans ce cas de figure, chaque reprise de la formation (après un temps de maturation) débute par une courte « piqûre de rappel » des éléments-clés vus à la séance précédente, afin de court-circuiter l’effet de fragmentation et d’oubli potentiel des informations, d’une séance sur l’autre.
De plus, lors de ces temps de maturation, les participants réalisent des « tâches » intersessions, au sens systémique du terme.
L’organisation
Nous procédons d’abord par de très courts « échanges exploratoires », en amont de la formation. Dans la mesure du possible, nous y impliquons le Commanditaire pour nous permettre d’expliciter notre proposition et de l’ajuster à des situations particulières pouvant nous être présentées, par exemple : des cas de figure courants rencontrés dans l’activité professionnelle des futurs participants.
Autrement dit, les formateurs ISRI cherchent à toujours associer le donneur d’ordre, le plus en amont possible du déclenchement de l’action.
Avant la formation – le Livret d’Accueil
8 jours avant environ
Afin de consacrer un maximum de temps à la formation proprement dite, dès le premier jour, nous réduisons au maximum le temps toujours trop long de la présentation des intervenants et de la formation que nous abordons traditionnellement de la manière suivante :
Une huitaine de jours avant l’entrée en formation, nous transmettons à chaque participant, un « Livret d’accueil », dont la lecture n’excède pas une douzaine de minutes.
Ce fascicule de huit pages A5 (pour réduire la consommation papier), présente :
- l’organisation fonctionnelle de la formation (rythme, heures, pauses…).
- la formation elle-même, ses objectifs, son déroulé pédagogique, les outils envisagés…
- le formateur(trice) et le cabinet ISRI
Procéder de la sorte participe à la transparence et à la préparation cognitive de la formation.
En début de formation – accueillir & recueillir
20 minutes environ
Le premier jour de la formation, le formateur(trice) laisse chaque participant se présenter succinctement puis valide ou ajuste les détails du « Livret d’accueil » avec eux, par exemple, quel temps faut-il accorder à la pause-déjeuner ? Quelle est l’heure de fin de journée ? Etc.
Ensuite, le formateur(trice) rappelle les objectifs pédagogiques fixés au sein du programme et en fait clairement ressortir la logique interne et la pertinence.
Il s’assure, en outre, que les stagiaires attendent de la formation ce qui leur est proposé. Ainsi, un petit temps indispensable est consacré à clarifier les attentes et les objectifs de chaque participant.
En revanche, les questions (éventuelles) sur le contenu du « Livret d’accueil » sont préférentiellement énoncées aux moments des pauses : celle du déjeuner y est particulièrement propice, à condition, bien sûr, que les stagiaires déjeunent tous ensemble.
On voit là, notre souci de rentabiliser le temps afin de le consacrer aux apprentissages.
Par ailleurs, si la formation visée dure plusieurs jours, la phase de présentation devient essentielle pour ISRI car elle ne se limite pas au traditionnel tour de table avec recueil des attentes !
Ainsi, forts d’une longue expérimentation, avons-nous généralisé la méthode des présentations croisées. Pourquoi ?
parce qu’elle a le pouvoir de provoquer une mise en mouvement automatique du participant, liée à la nécessité d’écouter un « autre » (connu ou inconnu), pour ensuite le présenter au groupe, en s’appuyant sur une prise de notes éventuelle.
Procéder ainsi, participe à une première approche de la dynamique de groupe car son principe de fonctionnement est dérivé du modèle d’écoute « centré sur le client » (C. Rogers in, Le développement de la personne, Dunod/InterEditions).
De plus, ce travail introductif est complété par une méthode originale ISRI de recueil de données à double entrée : le stagiaire est d’une part invité à évoquer les points de blocage qu’il a compris, également ses points forts.
Cette technique, issue du champ cognitivo-comportemental, vise d’emblée à ancrer la prise de conscience des points de force puis, à partir de cette position, d’entamer un travail de confrontation avec les difficultés liées au thème de la formation.
En conséquence, le formateur(trice) propose une mise en mouvement directe du participant dès les premières minutes du cursus. Il est à même de conscientiser A LA FOIS les points de progrès et les points de force existants dont il n’est pas toujours conscient, ce qui engendre l’importance du processus majeur de conscientisation.
Matériellement consignés sur des post-it nominatifs, les éléments-points sont répertoriés sous deux rubriques, puis sont repris en fin de cursus lors d’une phase de conscientisation
finale de l’ensemble des acquis de la formation. Ceci bouclant le cycle allant de la compréhension des principes et exercices, jusqu’à la prise de décisions, le tout reporté dans le Plan de Progrès Personnel (PPP) mis au point et distribué par le formateur.
Le plan de Progrès Personnel
- L’animateur(trice) distribue les Plans de Progrès Personnel (PPP) sur support papier et fournit des indications précises sur la manière de les utiliser dans le cadre de la formation et/ou après.
- Les participants, en phase d’introspection, construisent directement leur PPP ou consignent des notes qu’ils utiliseront à un moment choisi pour confectionner un Plan de Progrès Personnel adapté à leurs objectifs :
- réviser mentalement le contenu de l’ensemble de la formation,
- faire un retour sur eux-mêmes pour ancrer les connaissances et compétences nouvellement acquises,
- se « dés-inclure » du groupe et poser les bases du travail à venir en les intégrant dans l’espace-temps.
A partir de ce moment, le stagiaire est en mesure de dire « Cette formation est MA formation. »
Remarque : la pratique du Plan de Progrès Personnel figure a priori dans les formations ISRI. Elle diffère du bilan à chaud de la formation, car avec le Plan de Progrès Personnel, comme son nom l’indique, l’individu entre directement en communication avec lui-même, posant ainsi le cadre de son évolution et les bases d’actions sur son lieu de travail.
Pendant la formation – entre deux séances
15 minutes environ
Entre deux séances de formation, le participant n’est pas laissé sans rien faire. Bien entendu, le formateur(trice) adapte le travail demandé en fonction de la continuité ou de la discontinuité des jours de la formation.
insi, il est donné à l’apprenant un travail personnel à effectuer pour la séance suivante (s’il plaît au Commanditaire).
Ce travail peut prendre la forme d’un exercice expérientiel ou pratique, d’une réflexion à mener ou de n’importe quelle autre une tâche systémique à effectuer.
Remarque importante : pour une adéquation maximale, ce travail est préférentiellement construit en amont de la formation avec le Commanditaire.
Si cet avantage n’est pas possible, le travail demandé sera tiré du répertoire de cas pratiques constitué par les intervenants d’ISRI.
Les évaluations des apprenants tout au long de la formation
Chaque séance débute par la correction des tâches qui avaient été données au cours de la séance précédente.
De même que chaque exercice, ou chaque jeu de rôle, fait systématiquement l’objet d’un débriefing prenant l’aspect d’une évaluation sur la compréhension des apprenants.
A la fin – évaluation de la formation par les participants
15 minutes environ
Bien entendu, le cabinet ISRI ne peut pas faire l’impasse de l’évaluation de sa formation par les participants.
Objectifs de l’évaluation par les participants :
- Évaluer la formation pour connaître
- leur satisfaction globale,
- si les buts visés ont été atteints et
- améliorer, en conséquence, les pratiques professionnelles Isri.
Ainsi, chacune de nos formations bénéficie de nombreuses années d’expériences pédagogiques ajustées et améliorées.
Ce temps d’évaluation est aussi l’occasion de :
- distribuer un dossier récapitulatif des points abordés lors de la formation incluant une bibliographie ainsi que les outils pédagogiques et méthodologiques, exercices, tests, questionnaires utilisés, des bonnes pratiques et des manipulations importantes étudiées au cours de la formation
- distribuer un dossier complémentaire de points annexes et connexes à la formation.
La formation est anonymement évaluée à partir de trois points d’appréciation, d’amélioration et de regrets.
Outil :
L’outil que nous avons mis au point est un questionnaire d’évaluation comportant une rubrique dirigée et une rubrique libre.
Et ce n’est pas tout ! En fin de formation, l’animateur détaille en quelques minutes les modalités pratiques du protocole d’accompagnement post-formation ISRI. Il s’agit d’un véritable « SAV » inclus dans le prix.
Le Protocole Post-Formation
Lors du bilan, le formateur explique que les participants à la formation bénéficient d’un « SAV », baptisé « Protocole post-formation« .
Succinctement, ce protocole post-formation consiste, sur plusieurs semaines, à permettre aux stagiaires d’interroger le formateur (via des appels téléphoniques et des courriels), sur un aspect directement lié au cursus (élément de savoir, cas pratique, exercice…).
Autrement dit, à l’issue de la formation, les participants ont la possibilité de « rester au contact » du formateur sur une période de plusieurs semaines.
Dans la pratique, les modalités du Protocole sont les suivantes :
- contacts parcourriels sur une adresse mail dédiée fournie au terme de la formation ;
- contacts téléphoniques sur un numéro professionnel fourni au terme de la formation.
Remarque importante : Le client constatera avantageusement que ce système d’appui post-formation n’est pas proposé en mode optionnel ou « à la carte », car ISRI l’inclut SYSTÉMATIQUEMENT dans L’ENSEMBLE de ses prestations.
Mieux que n’importe quel argumentaire, l’existence même de ce protocole matérialise et assure un niveau d’engagement professionnel optimum des intervenants ISRI auprès des stagiaires.
Évaluation de la formation par le Commanditaire et bilan
L’auto-évaluation par ISRI lui-même (débriefing interne après la formation) et l’évaluation à chaud des stagiaires le dernier jour ne doivent pas faire l’impasse d’une évaluation et de contrôles réalisés par le Commanditaire en amont et en aval de la formation.
La soumission de documents écrits par ISRI (type « méthode pédagogique », « compte-rendu de formation »…) permet une évaluation à priori et une validation de la méthode par le Donneur d’Ordre. Elle favorise la participation à des contrôles.
Cette volonté d’évaluation par le Commanditaire prédispose à la confiance réciproque dans la réalisation du projet. En effet, une telle complétude, une telle cohérence et une telle précision entre nous mène nécessairement le projet à bien et le fait clore dans les meilleures conditions possibles.
Quant à la restitution du bilan, elle peut être effectuée à deux niveaux, selon le choix du Commanditaire :
- exclusivement : le compte-rendu de formation est transmis uniquement aux responsables impliqués dans le projet
- collectivement : les participants placés dans des conditions d’égalité (justice procédurale) reçoivent le bilan de formation (principe de transparence) de manière dématérialisée, et les responsables impliqués dans le projet reçoivent un support papier et/ou dématérialisé.