EQUI-MANAGEMENT,
Le coach n’est peut-être pas celui qu’on croit !
Et si le cheval, meilleur ami de l’homme, nous dévoilait, sans mentir, nos comportements véritablement perçus par les autres ?
Et s’il nous permettait, grâce à son authenticité, de prendre conscience de nos faiblesses en termes de communication non-verbale ?
Et s’il était, de par sa nature, un révélateur fiable de notre leadership et de notre assertivité tant recherchés ?
Et s’il permettait de nous faire progresser dans notre intelligence émotionnelle et dans notre estime de soi, ainsi que dans l’exercice de l’influence et de l’autorité inhérents à nos fonctions de responsable et de manager ?
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Mais quelle est l’origine du verbe « manager » ?
L’origine du mot « Manager » vient du vieux français « mesnager” qui a donné aussi celui de « Ménagère ».
Mais le terme « manager », anglicisme souvent utilisé est également passé par l’italien « maneggiare », lui-même issu de « mano » en latin qui veut dire « main ».
« Maneggiare » signifiait « entraîner un cheval en le dirigeant avec la main » ; C’est le terme « manège » que l’on retrouve en français qui est le lieu où l’on fait travailler les chevaux.
Le point important à retenir dans cette étymologie, c’est que la direction passe par la main et qu’il faut « tenir les rênes » ! !
Equi-management : le coach n’est peut-etre pas celui qu’on croit !
La relation avec le cheval permet aux participants de se confronter avec leur réalité émotionnelle : prendre conscience de soi et de ses limites, savoir gérer ses émotions, savoir établir des relations interpersonnelles intelligentes et équilibrées avec les autres.
Le cheval facilite ce travail parce qu’il est authentique et intelligent, qu’on ne peut tricher avec lui, ni le duper et parce que la relation interpersonnelle qui passe par le non verbal doit être « vraie » sous peine d’être démasquée intuitivement par l’animal et devenir ipso facto inopérante.
Personne ne peut tricher ou masquer ses émotions avec un animal d’une telle envergure de 400Kg en moyenne et d’une telle intelligence. En effet, de par sa capacité à comprendre et son aptitude à s’adapter à leurs interlocuteurs, le cheval nous fournit un « effet miroir » sans jugement de valeur sur nos comportements…..
Il ne parle pas, ne se laisse pas manipuler par les « beaux discours », ne reconnait pas de hiérarchie humaine, ne se laisse pas impressionner !
Le cheval est doté d’acuité sensorielle exceptionnelle :
Avec son sens olfactif développé, il peut repérer votre stress ou votre peur…
Sa vision quasi panoramique lui permet de très bien discerner les mouvements lui donne une vision nocturne bien meilleure que la nôtre.
Son ouïe lui donne une meilleure perception des sons aigus que nous. Il a une qualité de son semblable à la notre, il n’est pas nécessaire de crier pour qu’il nous entende…
Le goût peut aussi intervenir dans les relations entre individus , notamment par l’action du léchage.
Le cheval est sensible aux changements de température et aux sensations douloureuses ou agréables, comme la caresse, signe de récompense ou félicitation.
Toutes ces particularités sensorielles en font un excellent révélateur de nos modes de fonctionnement ! !
En fait, il reconnait seulement ce qu’il décrypte de vrai dans nos comportements : l’assurance, le ton, la clarté des ordres, la cohérence, la mise en confiance, le leadership, le respect…. Tous les atouts, qui pour lui (et pour les hommes) sont les signes d’un « leader » et d’un « manager ».
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