notre éthique
Liminaires : L’éthique ISRI ci-dessous a été bâtie à partir des recherches sur l’éthique de Jean-Armand HOURTAL, docteur en sciences humaines et diplômé universitaire d’éthique de la médecine.
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L’éthique ISRI, trois dimensions et neuf principes indivisibles et complémentaires
Pour comprendre plus finement l’investissement du travail des consultants ISRI dans leurs interventions, il convient d’énoncer leur ancrage dans une éthique professionnelle commune. Il s’agit pour toutes nos missions, à tout instant et en toutes circonstances :
– d’une interrogation permanente sur les valeurs : la pensée juste
– d’une confrontation entre les différents discours : la parole juste
– d’une réflexion sur les comportements : l’ action juste
Pour y parvenir, nous appliquons neuf principes indivisibles et complémentaires se déclinant en plusieurs indicateurs :
Le principe de justice et de transparence :
Il comprend des aspects théoriques et pratiques.
Il consiste à considérer l’autre comme nous voudrions être considérés nous-mêmes.
Le principe de liberté :
Il s’applique formellement à la reconnaissance de l’autre dans ses droits de penser, de faire, etc., en conscience de ses obligations professionnelles et dans les intérêts communs à toutes parties prenantes.
Le principe d’autonomie :
Il respecte toute personne dans sa faculté de penser et de faire des choix pour un résultat bénéfique commun avec l’organisation et dans son pouvoir de s’exprimer sans crainte de conséquences dommageables.
Le principe de non-malfaisance :
Il s’apparente aux formes du ‘principe de précaution’ dans l’exercice du travail, du management et de la direction.
Le principe de bienfaisance :
C’est le devoir qui interroge : ce qui est pensé, dit et fait est-il bienfaisant pour l’individu et l’organisation (à court et long terme) ?
Ce qui est entrepris engendre-t-il, a priori, un effet favorable avec des moyens adaptés ?
Le principe d’universalité :
Il concerne les valeurs, les discours et les comportements en tant qu’ils sont applicables à tous et à chacun, salarié et organisation, réciproquement et indépendamment.
Le principe de communication avec les autres :
Il s’agit d’une communication adaptée et de ‘bonne foi’.
C’est la coopération dans une communication véridique avec l’autre et tous les acteurs/auteurs de l’organisation.
Cette relation est vraie, sincère et non pas seulement utilitaire.
Le principe de cohérence :
Il concerne la relation entre les moyens utilisés et les finalités.
Il considère que les fins existent en germe dans les moyens employés.
La cohérence cherche à transformer les contradictions irréductibles de la vie de l’organisation en tensions gérables.
Le principe de transcendance :
Il donne à toute démarche sincère et véritable une ouverture des valeurs vers les intérêts communs individu – organisation.
Il fait le pari que les individus composant une organisation ne se réduisent pas aux seuls phénomènes qu’ils expriment et présentent, mais qu’ils sont une richesse et une ressource pour l’organisation.
En référence à ces éléments éthiques, la première mise en application consiste en une clarté et une transparence de toutes nos missions ; en un devoir de réserve et de neutralité politique, philosophique et religieuse et en une parfaite confidentialité.
Ainsi, nous acceptons seulement des missions dont l’intérêt de TOUTES les parties sont prises en compte sérieusement, sincèrement et équitablement.
De cette éthique découle notre propre déontologie professionnelle et la morale personnelle de tous les consultants ISRI. Par ailleurs, les psychologues et coachs ISRI adhèrent aux différents codes de déontologie de la profession :